Le mystère qui enveloppe le regard des mariés est proche de l’œuvre d’art et l’œil du photographe ne fera pas toujours le choix de s’y attarder. Dans le reportage documentaire ou publicitaire, la photo vient soutenir un message précis, guidé par les événements. Situé à mi-chemin entre l’artiste et le reporter, le photojournaliste de mariage se trouve au cœur d’un dilemme que je me suis efforcée de résoudre

Lorsque des mariés me confient la responsabilité d’accompagner le plus beau jour de leur vie, lorsqu’ils m’accordent assez de confiance pour se laisser guider par mon expérience, je retrouve d’instinct l’équilibre entre la délicatesse des émotions et la juste équation de l’ombre et de la lumière, la géométrie du cadrage ou le jeu des volumes. Technicienne de l’image, j’ai appris à me fondre en toute discrétion dans l’intimité de la fête. Cordiale et enjouée, sans m’autoriser une proximité trop grande ou dilettante, je n’oublie jamais que les mariés comptent sur moi.

En faisant le choix de devenir photographe professionnelle, j’ai endossé la charge de faire vivre mon entreprise, en acceptant les exigences de la fonction : choix d’un matériel sophistiqué de qualité, souscription aux assurances coûteuses, disponibilité et engagement sans faille vis-à-vis de ma clientèle, respect des règles déontologiques et commerciales de la profession, maîtrise absolue de la ressource technique et de son évolution, garantie d’un savoir-faire reconnu… Les témoignages spontanément exprimés sur le site sont la reconnaissance d’une longue expérience mais aussi de ma passion pour ce métier.

Chaque photographe a son histoire, son style…

Afin de proposer à chaque client une feuille de route fiable et réaliste, j’ai étudié mes tarifs dans le respect d’une concurrence loyale avec mes collègues du métier, et dans la conviction que j’apporterai la qualité légitime attendue par mes clients tout au long de la journée.

Prix de départ indicatif : 2100 € – depuis les préparatifs jusqu’à la fin du cocktail.